La jeune Chun Li part à la recherche de son père des années après avoir été kidnappé par le terrible Bison. Mais dis donc, c'est du jamais vu comme histoire les amis! Où est ce qu'ils vont chercher toutes leurs idées? Et surtout combien sont ils payé pour nous pondre ça?!? Et oui je meuble autant que possible la partie synopsis avec autant de mal que les scénaristes en on eu pour combler toutes les faiblesses scénaristiques du métrage. Bref avec un tel point de départ, c'était vraiment pas gagné.
Derrière la caméra nous retrouvons Andrzei Bartkowiak, coupable de Roméo Must Die, En Sursis et plus récemment de l'adaptation de Doom, qui "dirige" Kristin Kreuk (qui a le même charisme que flipper le dauphin. Si si, rappelez vous!!) dans le rôle de Chun Li, Michael Clarke Duncan (j'ai du mal à croire que c'est le même acteur qui jouait dans la ligne verte) joue Balrog, Neal McDonough (WTF???) incarne le maléfique Bison. Je ne préfère pas parlé du personnage de Vega, qui fait une très courte apparition. Pour ma part je me contenterai d'appeler ça un casting raté...
Pour ce qui est du film en lui même, c'est une catastrophe: on tombe dans un scénario cliché et indigeste propre à ce genre de film, les punchlines tombent à l'eau les unes après les autres, les incohérences sont incalculables ("il était pas mort dans une explosion il y a 20 minutes lui?"), c'est très mal filmé, les quelques combats sont hachés et illisibles, il n'y a aucun rythme, c'est ennuyeux, ... Bref, vous savez c'est le syndrome du film d'1h30 qui parait 3h00!
Quelle surprise, Street Fighter : la légende de Chun Li réussit l'exploit de faire passer la version avec JCVD pour un chef d'oeuvre du 7e art incompris.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire