Comme le titre l'indique je suis actuellement en plein déménagement et dans l'attente d'une connexion internet.
J'espere que ça arrivera dans les plus bref délais car j'ai plein de choses à vous faire partager!!!
Je vous tiens au courant rapidement!
Amicalement, Fabe Force One
23/02/2010
09/02/2010
CRITIQUE CINE / Street Fighter : la légende de Chun Li
Hier soir j'ai eu la chance de regarder perdre mon temps subir la dernière adaptation cinématographique du jeux vidéo de Capcom.
La jeune Chun Li part à la recherche de son père des années après avoir été kidnappé par le terrible Bison. Mais dis donc, c'est du jamais vu comme histoire les amis! Où est ce qu'ils vont chercher toutes leurs idées? Et surtout combien sont ils payé pour nous pondre ça?!? Et oui je meuble autant que possible la partie synopsis avec autant de mal que les scénaristes en on eu pour combler toutes les faiblesses scénaristiques du métrage. Bref avec un tel point de départ, c'était vraiment pas gagné.
Derrière la caméra nous retrouvons Andrzei Bartkowiak, coupable de Roméo Must Die, En Sursis et plus récemment de l'adaptation de Doom, qui "dirige" Kristin Kreuk (qui a le même charisme que flipper le dauphin. Si si, rappelez vous!!) dans le rôle de Chun Li, Michael Clarke Duncan (j'ai du mal à croire que c'est le même acteur qui jouait dans la ligne verte) joue Balrog, Neal McDonough (WTF???) incarne le maléfique Bison. Je ne préfère pas parlé du personnage de Vega, qui fait une très courte apparition. Pour ma part je me contenterai d'appeler ça un casting raté...
Pour ce qui est du film en lui même, c'est une catastrophe: on tombe dans un scénario cliché et indigeste propre à ce genre de film, les punchlines tombent à l'eau les unes après les autres, les incohérences sont incalculables ("il était pas mort dans une explosion il y a 20 minutes lui?"), c'est très mal filmé, les quelques combats sont hachés et illisibles, il n'y a aucun rythme, c'est ennuyeux, ... Bref, vous savez c'est le syndrome du film d'1h30 qui parait 3h00!
Quelle surprise, Street Fighter : la légende de Chun Li réussit l'exploit de faire passer la version avec JCVD pour un chef d'oeuvre du 7e art incompris.
La jeune Chun Li part à la recherche de son père des années après avoir été kidnappé par le terrible Bison. Mais dis donc, c'est du jamais vu comme histoire les amis! Où est ce qu'ils vont chercher toutes leurs idées? Et surtout combien sont ils payé pour nous pondre ça?!? Et oui je meuble autant que possible la partie synopsis avec autant de mal que les scénaristes en on eu pour combler toutes les faiblesses scénaristiques du métrage. Bref avec un tel point de départ, c'était vraiment pas gagné.
Derrière la caméra nous retrouvons Andrzei Bartkowiak, coupable de Roméo Must Die, En Sursis et plus récemment de l'adaptation de Doom, qui "dirige" Kristin Kreuk (qui a le même charisme que flipper le dauphin. Si si, rappelez vous!!) dans le rôle de Chun Li, Michael Clarke Duncan (j'ai du mal à croire que c'est le même acteur qui jouait dans la ligne verte) joue Balrog, Neal McDonough (WTF???) incarne le maléfique Bison. Je ne préfère pas parlé du personnage de Vega, qui fait une très courte apparition. Pour ma part je me contenterai d'appeler ça un casting raté...
Pour ce qui est du film en lui même, c'est une catastrophe: on tombe dans un scénario cliché et indigeste propre à ce genre de film, les punchlines tombent à l'eau les unes après les autres, les incohérences sont incalculables ("il était pas mort dans une explosion il y a 20 minutes lui?"), c'est très mal filmé, les quelques combats sont hachés et illisibles, il n'y a aucun rythme, c'est ennuyeux, ... Bref, vous savez c'est le syndrome du film d'1h30 qui parait 3h00!
Quelle surprise, Street Fighter : la légende de Chun Li réussit l'exploit de faire passer la version avec JCVD pour un chef d'oeuvre du 7e art incompris.
07/02/2010
COUP DE GUEULE / Game: mauvais gamer, mauvais vendeur
Hier après midi, je me suis rendu dans le centre commercial du coin pour me procurer le guide officiel de Bayonetta chez Game (anciennement "Score Game").
Ne le voyant pas en rayon j'ai demandé à un vendeur si il l'avait en stock. Pas vraiment sur de lui il part vérifier et en revenant me dit qu'il n'en ont pas reçu, que de toute façon il n'en vendront pas et surtout que ça servait à rien puisqu'on peut trouver tous les codes que l'on veut sur internet. J'ai essayé de lui expliquer que c'est surtout l'objet qui m'intéressait, je suis pas stupide je sais très bien que j'aurai pu trouver sur internet!! Mais le vendeur ne lâcha pas l'affaire et finit ce "débat" en me disant de regarder les forums de JV.com...
Je trouve ça quand même triste que les enseignes de jeux vidéos ne vendent QUE des jeux vidéos, je ne prend plus aucun plaisir a perdre mes yeux dans les rayons à la recherche de goodies et autres, car de toute façon il n'y en a plus! Pourtant les guides de jeux vidéos restent toujours les produits les plus recherchés par les gamers. Je ne comprend vraiment pas leur politique et il serait vraiment temps pour ces grandes chaine de prendre en compte la concurrence d'internet.
Je sais que cette petite histoire peut paraitre anecdotique, mais là c'est le nostalgeek qui parle, et je regrette vraiment le temps ou internet n'existait pas, ou les Joypad, TILT, ... faisaient mon bonheur et où on aimait plonger dans ces fameux guides.. Dommage que la presse et le numérique n'ai pas réussi à s'entendre (oui, je pense qu'internet a tué la presse écrite..).
Pour la petite histoire je me suis déplacé en magasin car la date de sortie du guide était le 5 février et qu'il est disponible sur le site internet de Game...
Ne le voyant pas en rayon j'ai demandé à un vendeur si il l'avait en stock. Pas vraiment sur de lui il part vérifier et en revenant me dit qu'il n'en ont pas reçu, que de toute façon il n'en vendront pas et surtout que ça servait à rien puisqu'on peut trouver tous les codes que l'on veut sur internet. J'ai essayé de lui expliquer que c'est surtout l'objet qui m'intéressait, je suis pas stupide je sais très bien que j'aurai pu trouver sur internet!! Mais le vendeur ne lâcha pas l'affaire et finit ce "débat" en me disant de regarder les forums de JV.com...
06/02/2010
PREVIEW / LOST saison 6
Nous y sommes enfin, après de longs mois d'attente la saison 6 de LOST à débuté la semaine dernière aux Etats Unis et le lendemain en version VOST sur TF1 vision. L'attente fut elle à la hauteur de nos espérance?
Rappelez vous, nous avions laissé nos naufragés à l'instant même où Juliette fit explosé la bombe dans le passé qui aurait du permettre d'éviter le crash de l'avion de nos héros Quant est il vraiment? Difficile de parler de ces deux premiers épisodes sans spoiler un minimum, mais sachez que cette reprise, sans être la meilleur, est vraiment très excitante. D'autant plus que certaines questions laissé en suspend trouvent des réponses: vous saurez enfin la vérité sur Locke et découvrirez que l'île possède encore son lot de surprises et d'endroits inexploré.
Finit les flashbacks et flashforwards, l'intrigue se compose de deux trames parrallèles qui permettent une meilleur lecture globale et d'avoir un rythme plus soutenue qu'à l'habitude. Au casting nous retrouverons tous les anciens protagonistes ainsi que quelques apparitions de guests déjà bien connu des amateurs de la série, qui je pense servent d'introduction à leurs retours dans les futurs épisodes.
L'ultime saison de LOST commence par un double épisode excitant et très rythmé, qui nous replonge dans cet univers comme si nous ne l'avions jamais quitté. J'ai vraiment hâte que TF1 vidéo nous sortent l'intégrale en Bluray pour pouvoir replonger dans cette série et sa mythologie.
Rappelez vous, nous avions laissé nos naufragés à l'instant même où Juliette fit explosé la bombe dans le passé qui aurait du permettre d'éviter le crash de l'avion de nos héros Quant est il vraiment? Difficile de parler de ces deux premiers épisodes sans spoiler un minimum, mais sachez que cette reprise, sans être la meilleur, est vraiment très excitante. D'autant plus que certaines questions laissé en suspend trouvent des réponses: vous saurez enfin la vérité sur Locke et découvrirez que l'île possède encore son lot de surprises et d'endroits inexploré.
Finit les flashbacks et flashforwards, l'intrigue se compose de deux trames parrallèles qui permettent une meilleur lecture globale et d'avoir un rythme plus soutenue qu'à l'habitude. Au casting nous retrouverons tous les anciens protagonistes ainsi que quelques apparitions de guests déjà bien connu des amateurs de la série, qui je pense servent d'introduction à leurs retours dans les futurs épisodes.
L'ultime saison de LOST commence par un double épisode excitant et très rythmé, qui nous replonge dans cet univers comme si nous ne l'avions jamais quitté. J'ai vraiment hâte que TF1 vidéo nous sortent l'intégrale en Bluray pour pouvoir replonger dans cette série et sa mythologie.
04/02/2010
ACHAT DVD / Intégrale The Shield édition collector
Après 8 ans d'attente arrive enfin l'intégrale de The Shield en DVD! Et autant vous dire que Sony a mis les petits plats dans les grands pour nous offrir ce magnifique coffret regroupant les 88 épisodes des 7 saisons sur 28 dvd.
La série suit la descente aux enfers de la Strike Team, mené par le détective Vic Mackey, après avoir commis l'irréparable. Autant vous dire que cette série est d'une rare profondeur psychologique et qu'on est très loin de la série d'action traditionnelle. Il s'agit d'un Drama, saisissant de justesse et muni d'une vraie intelligence d'écriture, justifié par le fait que la série à été écrite pour 7 saisons (et pas une de plus!) avant même le tournage de la première. Il s'agit de LA série policière par excellence.
Shawn Ryan prend le temps de présenter ses personnages, on les aimes, on les détestes, mais on ne reste jamais indifférent. Le casting est époustouflant et les guests prestigieux (Glenn Close, Forest Whitaker, rien que ça!). Filmé caméra à l'épaule pour accentuer le côté documentaire et réaliste, le scénariste revisite le mythe de la créature du Dr. Frankenstein, devenu incontrôlable par son créateur.
Le fourreau est en carton rigide et épais, très légèrement gauffré. L'enseigne du détective ("the shield" en VO) est en impression brillante tandis que le reste est imprimé en mat. Le boitier contenant les galettes est ici un livre à couverture rigide contenant les 28 galettes dans ses 14 pages. Sur chaque pages on retrouve la liste des épisodes (3 épisodes par dvd) et leurs résumés.
Je l'ai acheté 89€ en vente flash sur cdiscount au lieu du prix conseillé de 149€.
Vous n'avez plus aucune excuses pour ne pas découvrir le bijoux de Shawn Ryan!
La série suit la descente aux enfers de la Strike Team, mené par le détective Vic Mackey, après avoir commis l'irréparable. Autant vous dire que cette série est d'une rare profondeur psychologique et qu'on est très loin de la série d'action traditionnelle. Il s'agit d'un Drama, saisissant de justesse et muni d'une vraie intelligence d'écriture, justifié par le fait que la série à été écrite pour 7 saisons (et pas une de plus!) avant même le tournage de la première. Il s'agit de LA série policière par excellence.
Shawn Ryan prend le temps de présenter ses personnages, on les aimes, on les détestes, mais on ne reste jamais indifférent. Le casting est époustouflant et les guests prestigieux (Glenn Close, Forest Whitaker, rien que ça!). Filmé caméra à l'épaule pour accentuer le côté documentaire et réaliste, le scénariste revisite le mythe de la créature du Dr. Frankenstein, devenu incontrôlable par son créateur.
Le fourreau est en carton rigide et épais, très légèrement gauffré. L'enseigne du détective ("the shield" en VO) est en impression brillante tandis que le reste est imprimé en mat. Le boitier contenant les galettes est ici un livre à couverture rigide contenant les 28 galettes dans ses 14 pages. Sur chaque pages on retrouve la liste des épisodes (3 épisodes par dvd) et leurs résumés.
Je l'ai acheté 89€ en vente flash sur cdiscount au lieu du prix conseillé de 149€.
Vous n'avez plus aucune excuses pour ne pas découvrir le bijoux de Shawn Ryan!
02/02/2010
ACHAT / Big Nike by Spike Lee
Et non, je ne me passionne pas seulement pour le cinéma et les jeux vidéos, mais aussi pour les Sneakers! Non, ce ne sont pas des barres chocolaté, il s'agit en fait de simple paire de basket. Et moi je les aiment quand elles sont un peu rétro et qu'elles me rappellent mon adolescence!
Il s'agit ici d'une édition spéciale de la Big Nike, modèle hybride entre la Air Force One et la Nike Dunk High sortit pour la première fois en 1985,dessiné colorié par le réalisateur américain Spike Lee. Ses modèles sont immédiatement reconnaissable par son visuel remplaçant le logo de la marque.
Pour la petite histoire, la collaboration entre Spike Lee et Nike n'est pas nouvelle, l'homme a sortit sa première paire en 1987 et s'occupait lui même de la réalisation des spots de pub dans lesquelles il se mettait en scène sous le pseudo de Mars au coté de Michael Jordan.
Cette sneaker reprend fidèlement les couleurs de la toute première paire de Air Jordan 1, en reférence aux couleurs des Chicago Bulls, l'équipe de basketball de Michael Jordan. J'ai tout de suite craqué dessus lorsque je l'ai vu sur la présentoir d'un Foot Locker sur Paris.
Personnellement, je les adore, et vous?
Il s'agit ici d'une édition spéciale de la Big Nike, modèle hybride entre la Air Force One et la Nike Dunk High sortit pour la première fois en 1985,
Pour la petite histoire, la collaboration entre Spike Lee et Nike n'est pas nouvelle, l'homme a sortit sa première paire en 1987 et s'occupait lui même de la réalisation des spots de pub dans lesquelles il se mettait en scène sous le pseudo de Mars au coté de Michael Jordan.
Personnellement, je les adore, et vous?
01/02/2010
TEST PS3 / Ratchet & Clank : a crack in time
Retour sur le dernier jeu des aventures de Ratchet & Clank qui clôture la trilogie d'Insomniac Games.
L'histoire commence la ou l'épisode précédent s'est arrêté: l'enlèvement de Clank par les Zonis. Ratchet décide donc de le retrouver accompagné par le ridicule Capitaine Qwark, super héros de son état. Mais lors de sa quête, une rencontre inattendu va bouleverser les choses et notre Lombax aura l'avenir de sa race entre les mains.
Malgré les apparences, a crack in time est loin d'être un jeu destiné au jeune public. Les enjeux de ce volet prouvent que la franchise gagne une fois de plus en maturité. Ratchet se retrouvent face à des choix importants qui peuvent lui permettre d'éviter l'extinction de son espèce. Malheureusement cette histoire est relégué au second plan durant l'aventure avant d'éclater dans un combat final ahurissant. De son coté, Clank, prisonnier sur une planète appelée "la grande horloge", en apprendra plus sur ces origines et sa création.
Les graphismes de R&C sont du niveau d' Opération Destruction et Quest for booty, c'est beau, c'est fluide, c'est coloré et chaque planète possède sa propre identité, mais le moteur 3D utilisé pour le triptyque montre ses limites et s'éloigne des standards actuels sur PS3 mais se rattrape par son efficacité a affiché un nombre important d'ennemis à l'écran alors que ça pète de partout!
Et oui car c'est avant tout sur les scènes d'action que se repose l'histoire, laissant moins de place à la réflexion et la plate-forme. Le gameplay reste inchangé, on commence avec une arme de base, on l'a fait évoluer, on achète d'autre armes, on les fait évoluer, ... Rien de nouveau à l'horizon si ce n'est la perte de Clank très vite compensé par les hyperbottes et l'intégration de mission secondaires. Et c'est tant mieux, car c'est du coté des aventures du robot que le gameplay évolue. Dorénavant, il a le pouvoir de contrôler le temps et d'enregistrer des actions et les rejoués pendant qu'il effectue une autre action qui nécessite la première.
Compté environs une dizaine d'heures pour terminer le jeux, et une vingtaine d'heures pour récupérer le trophée platine sans grande difficultés.
L'épisode final de la trilogie reste dans la veine des 2 autres aventures, de l'action a gogo, des casses têtes parfois ardu, de la plate-forme. Le gameplay est en béton, l'aventure est surprenante par sa maturité même si l'on reste dans un esprit loufoque propre a la série. Il est juste dommage que l'on ai parfois un arrière gout de Super Mario Galaxy.
L'histoire commence la ou l'épisode précédent s'est arrêté: l'enlèvement de Clank par les Zonis. Ratchet décide donc de le retrouver accompagné par le ridicule Capitaine Qwark, super héros de son état. Mais lors de sa quête, une rencontre inattendu va bouleverser les choses et notre Lombax aura l'avenir de sa race entre les mains.
Malgré les apparences, a crack in time est loin d'être un jeu destiné au jeune public. Les enjeux de ce volet prouvent que la franchise gagne une fois de plus en maturité. Ratchet se retrouvent face à des choix importants qui peuvent lui permettre d'éviter l'extinction de son espèce. Malheureusement cette histoire est relégué au second plan durant l'aventure avant d'éclater dans un combat final ahurissant. De son coté, Clank, prisonnier sur une planète appelée "la grande horloge", en apprendra plus sur ces origines et sa création.
Les graphismes de R&C sont du niveau d' Opération Destruction et Quest for booty, c'est beau, c'est fluide, c'est coloré et chaque planète possède sa propre identité, mais le moteur 3D utilisé pour le triptyque montre ses limites et s'éloigne des standards actuels sur PS3 mais se rattrape par son efficacité a affiché un nombre important d'ennemis à l'écran alors que ça pète de partout!
Et oui car c'est avant tout sur les scènes d'action que se repose l'histoire, laissant moins de place à la réflexion et la plate-forme. Le gameplay reste inchangé, on commence avec une arme de base, on l'a fait évoluer, on achète d'autre armes, on les fait évoluer, ... Rien de nouveau à l'horizon si ce n'est la perte de Clank très vite compensé par les hyperbottes et l'intégration de mission secondaires. Et c'est tant mieux, car c'est du coté des aventures du robot que le gameplay évolue. Dorénavant, il a le pouvoir de contrôler le temps et d'enregistrer des actions et les rejoués pendant qu'il effectue une autre action qui nécessite la première.
Compté environs une dizaine d'heures pour terminer le jeux, et une vingtaine d'heures pour récupérer le trophée platine sans grande difficultés.
L'épisode final de la trilogie reste dans la veine des 2 autres aventures, de l'action a gogo, des casses têtes parfois ardu, de la plate-forme. Le gameplay est en béton, l'aventure est surprenante par sa maturité même si l'on reste dans un esprit loufoque propre a la série. Il est juste dommage que l'on ai parfois un arrière gout de Super Mario Galaxy.
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